Evictions During the Era of COVID-19: Who They’re Affecting and the Federal Government’s Response

At the beginning of 2020, the world began to shut down as COVID-19 cases surged. Communities, especially those in the US, have been hit incredibly hard by the effects of the virus. Non-essential work was shut down, and hard-working citizens were laid-off, with no income to bring home to their families. On March 27, 2020, the federal government introduced the CARES Act, which outlawed evictions. In September 2020, the ban was extended by the CDC until late March 2021. Despite the ban, landlords continuously break federal law by evicting their tenants. In the next few months, 30-40 million Americans could be in danger of eviction. COVID-19 has had detrimental effects on the US and has played a key role in limiting the livelihood of millions of Americans through eviction. The federal government needs to do more to aid those at risk and to prevent evictions during the pandemic.

Despite the March 2020 CARES Act, evictions are still happening in the US. As of December 2020, more than 1.7 million families said it was “very likely” that they would be evicted from their homes within the next two months, and more than 1 million of those families had children. In the United States, 1 in 40 renters have been evicted since the beginning of the pandemic. Many simply don’t have the means to pay rent on time. The service sector (restaurants, hotels, and salons) have been hit hard by shutdowns, and millions in the industry have been left without work. The sector employs about 43% of all women and 25% of all men, leaving women, and specifically single mothers, the most vulnerable. While eviction could be seen as a natural consequence of a global pandemic, the US has had a much higher eviction rate than other countries in the past year. For reference, 1 in 89 renters have been evicted in the UK, 1 in 227 in Denmark, and, strikingly, only 1 in 25,000 in France. 

Even though there are currently federal laws against eviction in place, landlords have been using loopholes to bypass these laws. While laws protect citizens from eviction, they have to register for protection every few months, leaving them vulnerable if they forget or are unable to access the service. Landlords have also been using informal or extrajudicial eviction tactics to bypass federal law like accusing tenants of violating rules like smoking cigarettes and bypassing courts completely by not renewing leases.

 A $1.9 trillion bill for COVID-19 relief was just recently passed. Due to a 50-50 split in the Senate, Democrats have been forced to follow the course of reconciliation, meaning they only need a simple majority to pass the bill. This sped up the passage of the bill, essentially providing aid with $1,400 stimulus checks. However, because the bill has been passed through reconciliation, it can only affect the budget. The continuation of eviction bans is not included under the budget reconciliation, and therefore cannot be extended past the CDC deadline in late March.

Despite the federal government trying to protect citizens against eviction during this extremely difficult time, the measures they’re taking aren’t enough. So far, there’s been a way to bypass everything they’ve done. In order to support the livelihoods of Americans, our politicians need to call for more action, hold landlords accountable, and work together to create bipartisan legislation that prevents a family’s life from basically being taken out from under them. Yes, I support the recent $1.9 trillion COVID-19 relief bill and most parts of it, but we need definitive legislation protecting against eviction until this pandemic has subsided and people can get back on their feet. Politicians need to work together and act in a bipartisan manner. Millions of Americans no longer have suitable living conditions to support their families. It shouldn’t take millions more for change to occur.

 

French Version:

 

Au début de 2020, le monde a commencé à fermer définitivement comme les cas du COVID-19 ont bondi. Les communautés, particulièrement celles-ci aux États-Unis, étaient marqué terriblement incroyablement par les effets du virus. Le travail superflu a été fermé définitivement et les citoyens travailleurs ont été licencié, sans le revenu apporter à la maison à leurs familles. Sur le 27 de mars, 2020, le gouvernement fédéral a présenté la loi de CARES, qui a prohibé les expulsions. Dans septembre 2020, l’interdiction a prolongé par le CDC jusqu’au mars 2021. Malgré cette interdiction, les propriétaires transgressent la loi fédéral en continuant d’expulser  par expulsent ses locataires. Dans les peu des mois prochains, 30-40 millions d’Américains seraient en danger d’expulsion.

Malgré la loi de CARES de mars 2020, les expulsions se passent encore aux États-Unis. À partir du décembre 2020, un plus des 1.7 millions familles ont dit qu’il était “très probable” qu’ils seraient expulsé de leurs maisons dans les deux prochains mois. Plus d’un millions de ces familles ont des enfants. Aux États-Unis, 1 sur 40 locataires ont été expulsé depuis le début de la pandémie. Pour référence, 1 sur 89 locataires ont été expulsé au Royaume-Uni, 1 sur 227 au Danemark, et remarquablement seulement 1 sur 25,000 en France. Les femmes, spécifiquement les mères célibataires ont été quelques des personnes frappé le plus dur par la pandémie. Le secteur du service (les restaurants, les hôtels, les salons de coiffure, etc.) emploie environ 43% des touts femmes et environ 25% des touts hommes. Il a été frappé dur par les fermetures, qui laissent des millions au chômage.

Bien qu’il y a actuellement les lois fédérales contre les expulsions en place, les propriétaires ont utilisé les vides juridiques pour contourner ces lois. Même si les lois protègent les citoyens d’expulsion, ils ses doivent inscrire pour la protection chaque quelques-uns mois, les partent vulnérable s’ils oublient ou sont incapable accéder au service. Aussi, les propriétaires utilisent les tactiques d’expulsion officieuses ou “extrajudiciaire” contourner la loi fédéral comme accuse les locataires de viole les règles comme le tabac ou contourne les tribunaux et ne renouvele pas les bails plutôt.

Un $1,9 mille milliards projet de loi pour COVID-19 soulagement a été passé juste il y a un peu des jours. À cause d’une dissolution 50-50 dans le Sénat, les démocrates ont été forcé à suivre la route de la réconciliation, signifie qu’ils ont besoin seulement une majorité simple pour passer le projet de loi. Fait c’a accéléré le passage du projet de loi, essentiellement fournit l’aide par les chèques du stimulus de $1.400. Cependant, parce que le projet de loi a été passé par la réconciliation, il peut affecter le budget seulement. La continuation des interdiction d’expulsion n’est pas inclus sous la réconciliation du budget, et par conséquent ne peux pas être prolongé après la date limite du CDC dans Mars.

Malgré le gouvernement fédéral essaie à protéger les citoyens d’expulsion pendant ce temps extrêmement difficile, les mesures qu’ils prennent ne sont pas suffisant. Pour l’instant, il y avait une façon de contourner tout qu’ils ont fait. Pour soutenir les gagne-pains des Américains, nos politiques doivent parler pour plus d’action, tenir les propriétaires responsable, et travailler ensemble pour faire la législation bipartite protéger de la vulnérabilité. Oui, je soutiens le récent $1,9 mille milliards projet de loi pour COVID-19 soulagement et la plupart des parties de lui, mais nous avons besoin de la législation définitif protége d’expulsion jusqu’à cette pandémie a ce calmé et les personnes peuvent revenir sur leurs pieds. Les millions des Américains n’ont plus les conditions de vie approprié pour soutenir leurs familles. Il ne doit pas prendre plus des millions des Américains pour la variation apparaître.